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Roadblocks and New Directions

The legal fight to gain Band Status required money. To apply for money, a group had to have Band Status. This unsolvable dilemma led a succession of lawyers to work for a short time for the band because they saw that their cause was just, but the lack of funds prevented progress. Through a number of delaying tactics, the federal government seemed to be waiting for members of Michel to either die of old age, or lose hope.

“Our membership has been very patient in waiting for an answer, however I would suggest our collective patience has been severely tested.” – Chief Gilbert Anderson to Dan Goodleaf, Deputy Minister of Indian Affairs, 1993

By 2013, the federal government used a little-known “drop dead” clause to attempt to remove the case from the court system. The clause can be used to dismiss cases that have had long delays in the system. By 2016, the court case was dropped by the Band. The Band still hopes that the new Liberal government will honour the promises of Prime Minister Justin Trudeau.

“It is time for a renewed, nation-to-nation relationship with First Nations peoples, one that understands that the constitutionally guaranteed rights of First Nations in Canada are not an inconvenience but rather a sacred obligation.” – Justin Trudeau, December 8, 2015

The Michel Band continues to fight for recognition as an Aboriginal collective outside of the Indian Act.

Image Credits: Election of Band Council, 1991, Courtesy of Celina Loyer/Élection du conseil de bande, 1991. Courtoisie de Celina Loyer

La lutte juridique pour rétablir le statut de bande nécessitait des fonds. Cependant, pour demander l’argent, un groupe devait avoir le statut de bande. Voyant que leur cause était juste, une succession d’avocats ont travaillé pendant de courtes périodes de temps pour la bande afin d’essayer de résoudre cet insoluble dilemme. Par contre, le manque de fonds a prévenu le progrès. Le gouvernement fédéral semblait utiliser de nombreuses tactiques dilatoires en attendant que les membres de la bande Michel meurent de vieillesse ou qu’ils perdent l’espoir.

« Nos membres ont été très patients en attendant une réponse, cependant, je dirais que notre patience collective a été mise à rude épreuve. » Chef Gilbert Anderson à Dan Goodleaf, sous-ministre des Affaires indiennes, 1993

Par 2013, le gouvernement fédéral a utilisé une clause peu connue appelée «mort subite » pour tenter d’enlever le cas du système judiciaire. La clause peut être utilisée pour rejeter des cas qui ont été rapportés trop longtemps dans le système judiciaire. La bande a abandonné le cas en 2016. Elle a espoir que le nouveau gouvernement Libéral honorera les promesses du Premier Ministre Justin Trudeau.

« Le moment est venu de réinventer notre relation de nation à nation avec les peuples autochtones. D’avoir avec eux une relation montrant que les droits des Premières Nations garantis par la Constitution du Canada ne sont pas quelque chose qui nous dérange, mais plutôt une obligation sacrée. » Justin Trudeau, 8 décembre, 2015

À ce jour, la bande Michel continue de lutter pour la reconnaissance en tant que collectif autochtone en dehors de la Loi sur les Indiens.