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Land Surrenders
In the early 1900’s the federal government was putting pressure on many First Nations groups to sell large parts of their reserves for the use of European settlers. Michel was no exception.
1903
The Band was persuaded to sign a “surrender” to sell 7800 acres on the west side of the reserve. The money was to be used to buy farm implements and cattle, items that had already been promised to them under treaty, but never received. Three quarter sections were sold to someone acting on behalf of a junior official of the Department of Indian Affairs.
1906
Frustrated by the lack of monetary return, the Band was convinced to sell another 2400 acres from the east side of the Reserve. Four years later, despite all of the land being sold for good prices, only $900 of the approximately $48,000 due had been paid.
1911
Janvier L’Hirondelle was a Métis who had taken scrip and, at the time the Reserve was surveyed in 1880, was living just inside the south east corner of what later became Reserve Lands. Indian Affairs made a free grant of the land to L’Hirondelle’s family in 1911, without Band consent.
1918
The Band surrendered 203.76 acres of land off of the south end of the Reserve apparently to “square up” the south end of the Reserve. Over the next ten years some Band members chose enfranchisement, for various reasons.A number of them were frustrated over the mismanagement of the land sales.
1928
10 families (41 people), fully one-third of the Band voluntarily enfranchised. Another 2892 acres were sold off the south end of the Reserve. The enfranchisees were to be given a share of the proceeds, which they could then use to buy a portion of the Reserve lands at prices fixed by the department.
Oral history recounts that these families no longer wanted their children to be sent to the Residential School in St. Albert, but in order to set up a school next to the Reserve, they were told that they had to enfranchise. The new Michael School was opened for the children of those enfranchised families.
1958
Total enfranchisement of the members and sale of the Reserve.
Image Credits: Adapted from Edmonton Sheet Sectional Map, 1909
City of Edmonton Archives, EAM153/Adapté d’une carte des archives de la ville d’Edmonton, EAM153
Au début des années 1900, le gouvernement fédéral mettait beaucoup de pression sur plusieurs groupes de Premières Nations pour vendre aux colons européens de grandes portions de terre sur leur réserve. Michel n’a pas été une exception.
1903
La bande est persuadée de céder 7800 acres de terre sur le côté ouest de la réserve. L’argent gagné de ces terres devait être utilisé pour acheter des outils agricoles et du bétail; des produits qui leurs avaient été promis selon le traité, mais jamais remis. Trois quarts de sections ont été vendus à quelqu’un agissant au titre de fonctionnaire junior du ministère des Affaires indiennes.
1906
Frustré par le manque de retour financier, la bande est persuadée de vendre 2400 acres additionnelles du côté est de la réserve. Quatre ans plus tard, malgré toutes ces terres vendues à de bons prix, seulement 900$ d’environ 48,000$ dû ont été payé.
1911
Un Métis, Janvier L’Hirondelle avait accepté le certificat de Métis et lorsqu’on avait arpenté la réserve en 1880, il habitait dans le coté sud-est de ce qui deviendrait plus tard des terres de réserve. En 1911, les Affaires indiennes ont octroyé gratuitement cette terre à la famille L’Hirondelle sans l’accord de la bande.
1918
Il est dit que la bande a cédé 203.76 acres de terres du côté sud de la réserve pour équarrir ce côté de la réserve. Au fil des dix prochaines années, quelques membres de la bande ont choisi l’émancipation pour des raisons variées. Plusieurs d’entre eux étaient frustrés par la mauvaise gestion des ventes de terres.
1928
10 familles (41 personnes), exactement un tiers de la bande ont choisi l’émancipation. 2892 acres de plus du côté sud de la réserve ont été vendus. Ceux qui choisissaient l’émancipation allaient se voir octroyer une portion des revenus à utiliser pour s’acheter une portion des terres de la réserve à des prix fixés par le ministère.
Selon l’histoire orale, ces familles ne voulaient plus que leurs enfants fréquentent l’école résidentielle de Saint-Albert. Par contre, afin d’ouvrir une école près de la réserve, ils étaient obligés de choisir l’émancipation. C’est alors que l’école Michael ouvre ses portes pour les enfants des familles émancipées.
1958
L’émancipation totale des membres et la vente de la réserve.